En réalité, la raison pour laquelle j’ai écrit cet article est que, lors des vacances du Jour National, je suis rentré et j’ai beaucoup discuté avec un ancien camarade avec qui j’avais cofondé une entreprise, à propos de ces dernières années à secouer le secteur physique.
Il a tout perdu de ses économies des années précédentes, a accumulé une partie de dettes, et son état mental n’est pas au mieux.
Mon intention est la suivante : j’espère que tous ces hommes d’âge moyen perdus, sans direction, se ressaisiront, car l’avenir leur appartient toujours.
En réalité, le contexte économique actuel n’est pas votre problème ou le mien, c’est celui de tout le monde, personne ne gagne d’argent !
Voici quelques exemples simples :
Parce que je voulais revenir de Hangzhou à Xi’an, cette année pour le Jour National, j’ai regardé le prix de l’immobilier !
Les prix ont chuté de plus de 40 % par rapport au pic, ce qui est le cas dans beaucoup de villes de deuxième, troisième et quatrième rangs.
Les prix de l’immobilier baissent, les salaires aussi ! Mais vous devez toujours rembourser votre prêt immobilier acheté auparavant !
Les commerces K, les bains de pieds, les KTV ne sont plus des lieux indispensables après la fête, maintenant c’est : chacun rentre chez soi.
La cause fondamentale de tout cela est : sous une dette élevée et un levier financier important, les gens ordinaires n’ont plus de fonds à leur disposition pour plus de contrôle.
Ce n’est que lorsque l’économie va mal que vous avez la meilleure opportunité.
Nous, la génération des 90s,
peut-être sommes-nous déjà habitués à entendre ces quatre mots : « économie mauvaise ».
L’emploi difficile, la baisse des revenus, le marché immobilier morose, l’investissement peu actif — comme si le monde entier ralentissait.
Mais avez-vous déjà pensé,
que « l’économie mauvaise » — est justement le moment où le destin est redistribué, où les opportunités sont réévaluées.
En 2025, l’économie mondiale ressemble à un navire énorme qui fuit, vacillant dans la guerre commerciale, les répercussions de l’inflation et les risques géopolitiques.
Lorsque la bourse s’effondre, que le taux de chômage grimpe en flèche, que les prix de l’immobilier sont divisés par deux,
que les chômeurs font la queue, que les entreprises licencient comme d’habitude, que l’indice de confiance des consommateurs atteint le fond,
vous tremblez ?
Ne paniquez pas, c’est justement une « touche de redémarrage » que le ciel vous offre.
Mais croyez-le : lorsque l’économie va mal, c’est la meilleure opportunité. Pourquoi ? Parce que le creux élimine les bulles, réduit les barrières, permettant à ceux qui sont préparés de profiter à bas prix, de contrer la tendance et de créer leur propre entreprise.
Historiquement, chaque crise a engendré des millions de riches.
Le creux économique n’est pas une fin, mais un début — ces figures légendaires, brillent toujours dans la nuit la plus noire.
Affrontez la réalité — aperçu des données de l’« hiver économique » 2025
Arrêtez de vous mentir. Les données ne mentent pas, elles sont comme un miroir qui reflète les douleurs du moment.
Mais rappelez-vous, derrière ces chiffres, il y a l’agonie de nombreux individus — c’est aussi votre « alarme ».
Voici les indicateurs clés de 2025 (selon le dernier rapport des institutions internationales) :
Ces chiffres sont comme des lames de couteau, qui piquent chacun : la croissance mondiale ralentit jusqu’au « point de gel », le marché de l’emploi américain montre des fissures, la Chine est plongée dans la morosité immobilière et la faiblesse de la consommation.
Votre salaire mensuel est peut-être gelé, la pression du prêt immobilier est énorme.
Mais respirez profondément : ce n’est pas la fin du monde, c’est le prélude à « l’inversion de tendance ». Lors des creux économiques, les prix des actifs s’effondrent, la fuite des talents s’accentue, la concurrence diminue — les barrières n’ont jamais été aussi basses.
Les étincelles de la revanche — « cas d’or » dans l’hiver économique
Les données sont froides, mais les histoires sont chaleureuses.
Les légendes qui se sont relevées lors des crises ne sont pas dues à la chance, mais à la perspicacité.
Chaque cycle de crise économique engendre une nouvelle vague de bénéficiaires.
Après l’éclatement de la bulle Internet en 2000 : Google est passé du garage au monde entier ; Amazon a perdu 90 % de sa valeur, mais a retrouvé son sommet en trois ans.
En 2008, lors de la crise financière : les marchés mondiaux s’effondrent, la Fed imprime à tout va ; cette année-là, le livre blanc de Bitcoin voit le jour.
En 2015, lors du hiver du capital en Chine : Pinduoduo vient de fonder, tout le monde disait que « la période des profits du commerce électronique était finie » ; en 2018, il entre directement en bourse à Nasdaq.
En 2020, lors de la pandémie : Zoom, TikTok, Tesla voient leur valeur exploser. Musk passe de « fou » à « mythe ».
En 2023, lors de la vague de hausse des taux de la Fed : le marché des cryptos entre dans la plus longue tendance baissière de l’histoire ; en 2024, BlackRock dépose une demande d’ETF Bitcoin, ravivant le marché haussier mondial.
Cela nous enseigne une règle d’or :
La crise économique n’est pas la fin des opportunités, mais le début d’une redistribution de la richesse.
L’essentiel est : vous devez agir.
Une profonde résonance — pourquoi « mauvais » devient votre « meilleur » ?
L’hiver économique est comme une tempête qui nettoie la superficialité, laissant place à l’essentiel.
Réfléchissez à vous-même : l’anxiété des nuits tardives, l’impuissance face aux factures, ces douleurs ne sont pas une malédiction, mais un signal — un signal pour tourner vers votre force intérieure.
Les études psychologiques montrent que l’adversité stimule une « mentalité de croissance » : une étude à long terme en Finlande a révélé que les personnes ayant vécu une crise économique ont un revenu médian supérieur de 20 % cinq ans plus tard.
Car le creux vous enseigne la résilience : apprendre à négocier, à faire des économies, à réseauter.
Plus profondément : c’est une invitation à « se remodeler ».
Quand l’économie va bien, tout le monde se précipite, les opportunités sont diluées ; quand ça va mal, les gens intelligents se concentrent, et quand le printemps revient, ils sont déjà devenus de grands arbres.
Vous n’êtes pas une victime, mais un réalisateur — en utilisant les données pour analyser le marché, les histoires pour alimenter la foi, et l’action pour écrire votre fin.
L’économie va mal ? Oui.
Mais c’est aussi un murmure du ciel : faites une pause, choisissez à nouveau.
Souvenez-vous d’Amazon, Airbnb, Buffett — ils ne sont pas nés grands, ils ont choisi d’être grands dans la crise.
Pourquoi « économie mauvaise » est-elle en réalité une opportunité ?
Premier : la baisse des coûts, la réduction des barrières d’entrée
En période de bulle, tout coûte cher : immobilier, publicité, main-d’œuvre. Mais quand le marché se refroidit — les loyers baissent, les talents sont abondants, les ressources deviennent bon marché,
vous pouvez construire un modèle d’affaires dix fois moins cher que d’habitude.
Deuxième : la sortie des concurrents, le marché se libère
95 % des entrepreneurs échouent en hiver, seuls restent les vrais « acteurs ».
Ma Yun disait : « Quand les autres paniquent, vous devez rester calme ; quand les autres restent calmes, vous devez être avide. »
Troisième : l’anxiété du capital, la recherche de nouvelles narrations
Quand les anciennes histoires (immobilier, commerce extérieur, internet) s’effondrent,
les capitaux cherchent toujours de nouvelles certitudes — IA, énergie propre, blockchain, RWA
C’est le point de départ de la nouvelle richesse.
Quatrième : le temps appartient à ceux qui « sont préparés »
En période de surchauffe, vous n’avez même pas le temps de réfléchir.
Mais en hiver, tout le monde ralentit — c’est le moment idéal pour apprendre, accumuler, planifier, attendre.
Conclusion : face à la crise, renaître
Tous les cycles économiques,
ont un point commun : aucun hiver ne dure éternellement, et aucun printemps ne tarde à venir.
Ces quatre mots, « économie mauvaise », signifient pour la majorité : anxiété, panique, chômage.
Mais pour une minorité, ils représentent — la fenêtre pour redémarrer sa vie.
La vraie opportunité ne se trouve pas dans la montée, mais dans la capacité à survivre dans la tempête.
Souvenez-vous :
L’économie va mal,
ce n’est pas la fin du monde,
c’est le début d’une nouvelle étape. $BAL **$BNT **$NMR
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L'économie n'est pas bonne, c'est la meilleure opportunité pour vous
En réalité, la raison pour laquelle j’ai écrit cet article est que, lors des vacances du Jour National, je suis rentré et j’ai beaucoup discuté avec un ancien camarade avec qui j’avais cofondé une entreprise, à propos de ces dernières années à secouer le secteur physique.
Il a tout perdu de ses économies des années précédentes, a accumulé une partie de dettes, et son état mental n’est pas au mieux.
Mon intention est la suivante : j’espère que tous ces hommes d’âge moyen perdus, sans direction, se ressaisiront, car l’avenir leur appartient toujours.
En réalité, le contexte économique actuel n’est pas votre problème ou le mien, c’est celui de tout le monde, personne ne gagne d’argent !
Voici quelques exemples simples :
Parce que je voulais revenir de Hangzhou à Xi’an, cette année pour le Jour National, j’ai regardé le prix de l’immobilier !
Les prix ont chuté de plus de 40 % par rapport au pic, ce qui est le cas dans beaucoup de villes de deuxième, troisième et quatrième rangs.
Les prix de l’immobilier baissent, les salaires aussi ! Mais vous devez toujours rembourser votre prêt immobilier acheté auparavant !
Les commerces K, les bains de pieds, les KTV ne sont plus des lieux indispensables après la fête, maintenant c’est : chacun rentre chez soi.
La cause fondamentale de tout cela est : sous une dette élevée et un levier financier important, les gens ordinaires n’ont plus de fonds à leur disposition pour plus de contrôle.
Ce n’est que lorsque l’économie va mal que vous avez la meilleure opportunité.
Nous, la génération des 90s,
peut-être sommes-nous déjà habitués à entendre ces quatre mots : « économie mauvaise ».
L’emploi difficile, la baisse des revenus, le marché immobilier morose, l’investissement peu actif — comme si le monde entier ralentissait.
Mais avez-vous déjà pensé,
que « l’économie mauvaise » — est justement le moment où le destin est redistribué, où les opportunités sont réévaluées.
En 2025, l’économie mondiale ressemble à un navire énorme qui fuit, vacillant dans la guerre commerciale, les répercussions de l’inflation et les risques géopolitiques.
Lorsque la bourse s’effondre, que le taux de chômage grimpe en flèche, que les prix de l’immobilier sont divisés par deux,
que les chômeurs font la queue, que les entreprises licencient comme d’habitude, que l’indice de confiance des consommateurs atteint le fond,
vous tremblez ?
Ne paniquez pas, c’est justement une « touche de redémarrage » que le ciel vous offre.
Mais croyez-le : lorsque l’économie va mal, c’est la meilleure opportunité. Pourquoi ? Parce que le creux élimine les bulles, réduit les barrières, permettant à ceux qui sont préparés de profiter à bas prix, de contrer la tendance et de créer leur propre entreprise.
Historiquement, chaque crise a engendré des millions de riches.
Le creux économique n’est pas une fin, mais un début — ces figures légendaires, brillent toujours dans la nuit la plus noire.
Affrontez la réalité — aperçu des données de l’« hiver économique » 2025
Arrêtez de vous mentir. Les données ne mentent pas, elles sont comme un miroir qui reflète les douleurs du moment.
Mais rappelez-vous, derrière ces chiffres, il y a l’agonie de nombreux individus — c’est aussi votre « alarme ».
Voici les indicateurs clés de 2025 (selon le dernier rapport des institutions internationales) :
Ces chiffres sont comme des lames de couteau, qui piquent chacun : la croissance mondiale ralentit jusqu’au « point de gel », le marché de l’emploi américain montre des fissures, la Chine est plongée dans la morosité immobilière et la faiblesse de la consommation.
Votre salaire mensuel est peut-être gelé, la pression du prêt immobilier est énorme.
Mais respirez profondément : ce n’est pas la fin du monde, c’est le prélude à « l’inversion de tendance ». Lors des creux économiques, les prix des actifs s’effondrent, la fuite des talents s’accentue, la concurrence diminue — les barrières n’ont jamais été aussi basses.
Les étincelles de la revanche — « cas d’or » dans l’hiver économique
Les données sont froides, mais les histoires sont chaleureuses.
Les légendes qui se sont relevées lors des crises ne sont pas dues à la chance, mais à la perspicacité.
Chaque cycle de crise économique engendre une nouvelle vague de bénéficiaires.
Après l’éclatement de la bulle Internet en 2000 : Google est passé du garage au monde entier ; Amazon a perdu 90 % de sa valeur, mais a retrouvé son sommet en trois ans.
En 2008, lors de la crise financière : les marchés mondiaux s’effondrent, la Fed imprime à tout va ; cette année-là, le livre blanc de Bitcoin voit le jour.
En 2015, lors du hiver du capital en Chine : Pinduoduo vient de fonder, tout le monde disait que « la période des profits du commerce électronique était finie » ; en 2018, il entre directement en bourse à Nasdaq.
En 2020, lors de la pandémie : Zoom, TikTok, Tesla voient leur valeur exploser. Musk passe de « fou » à « mythe ».
En 2023, lors de la vague de hausse des taux de la Fed : le marché des cryptos entre dans la plus longue tendance baissière de l’histoire ; en 2024, BlackRock dépose une demande d’ETF Bitcoin, ravivant le marché haussier mondial.
Cela nous enseigne une règle d’or :
La crise économique n’est pas la fin des opportunités, mais le début d’une redistribution de la richesse.
L’essentiel est : vous devez agir.
Une profonde résonance — pourquoi « mauvais » devient votre « meilleur » ?
L’hiver économique est comme une tempête qui nettoie la superficialité, laissant place à l’essentiel.
Réfléchissez à vous-même : l’anxiété des nuits tardives, l’impuissance face aux factures, ces douleurs ne sont pas une malédiction, mais un signal — un signal pour tourner vers votre force intérieure.
Les études psychologiques montrent que l’adversité stimule une « mentalité de croissance » : une étude à long terme en Finlande a révélé que les personnes ayant vécu une crise économique ont un revenu médian supérieur de 20 % cinq ans plus tard.
Car le creux vous enseigne la résilience : apprendre à négocier, à faire des économies, à réseauter.
Plus profondément : c’est une invitation à « se remodeler ».
Quand l’économie va bien, tout le monde se précipite, les opportunités sont diluées ; quand ça va mal, les gens intelligents se concentrent, et quand le printemps revient, ils sont déjà devenus de grands arbres.
Vous n’êtes pas une victime, mais un réalisateur — en utilisant les données pour analyser le marché, les histoires pour alimenter la foi, et l’action pour écrire votre fin.
L’économie va mal ? Oui.
Mais c’est aussi un murmure du ciel : faites une pause, choisissez à nouveau.
Souvenez-vous d’Amazon, Airbnb, Buffett — ils ne sont pas nés grands, ils ont choisi d’être grands dans la crise.
Pourquoi « économie mauvaise » est-elle en réalité une opportunité ?
Premier : la baisse des coûts, la réduction des barrières d’entrée
En période de bulle, tout coûte cher : immobilier, publicité, main-d’œuvre. Mais quand le marché se refroidit — les loyers baissent, les talents sont abondants, les ressources deviennent bon marché,
vous pouvez construire un modèle d’affaires dix fois moins cher que d’habitude.
Deuxième : la sortie des concurrents, le marché se libère
95 % des entrepreneurs échouent en hiver, seuls restent les vrais « acteurs ».
Ma Yun disait : « Quand les autres paniquent, vous devez rester calme ; quand les autres restent calmes, vous devez être avide. »
Troisième : l’anxiété du capital, la recherche de nouvelles narrations
Quand les anciennes histoires (immobilier, commerce extérieur, internet) s’effondrent,
les capitaux cherchent toujours de nouvelles certitudes — IA, énergie propre, blockchain, RWA
C’est le point de départ de la nouvelle richesse.
Quatrième : le temps appartient à ceux qui « sont préparés »
En période de surchauffe, vous n’avez même pas le temps de réfléchir.
Mais en hiver, tout le monde ralentit — c’est le moment idéal pour apprendre, accumuler, planifier, attendre.
Conclusion : face à la crise, renaître
Tous les cycles économiques,
ont un point commun : aucun hiver ne dure éternellement, et aucun printemps ne tarde à venir.
Ces quatre mots, « économie mauvaise », signifient pour la majorité : anxiété, panique, chômage.
Mais pour une minorité, ils représentent — la fenêtre pour redémarrer sa vie.
La vraie opportunité ne se trouve pas dans la montée, mais dans la capacité à survivre dans la tempête.
Souvenez-vous :
L’économie va mal,
ce n’est pas la fin du monde,
c’est le début d’une nouvelle étape. $BAL **$BNT **$NMR