La crise de gouvernance des leaders de la DeFi : le déséquilibre entre salaires élevés et responsabilités
Ce n’est pas seulement une question de rémunération, mais qui pointe vers le cœur du système de gouvernance écologique dans son ensemble.
**Le déséquilibre derrière les chiffres**
En 2024, une fondation majeure de DEX a alloué environ 9,99 millions de dollars US en financement écologique, tandis que les dépenses totales en salaires des employés pour la même période s’élevaient à 4,79 millions de dollars US. La question est brûlante : ces salaires élevés ont-ils réellement favorisé la croissance du protocole ? Un ancien contributeur clé, Pepo, a quitté la fondation en raison de son mécontentement face au fonctionnement de celle-ci, allant jusqu’à qualifier sa structure de rémunération de « mode enfer ».
**Les défauts inhérents à l’architecture de gouvernance**
Une structure organisationnelle complexe cache des risques — entités à but lucratif, fondations à but non lucratif, DAO dispersés, chacun agissant de son côté, avec des frontières d’intérêts floues. Après avoir obtenu un soutien financier de 165 millions de dollars US de la part de la DAO, la fondation a été fréquemment accusée de privilégier ses propres intérêts plutôt que ceux de la communauté dans son ensemble. Ce décalage entre pouvoir et intérêts est à la racine du problème.
**Le paradoxe de la capture de valeur**
Ironiquement, alors que la controverse sur les salaires s’intensifie, des propositions visant à créer de la valeur pour les détenteurs de tokens avancent — destruction de tokens, mécanismes de frais, etc., prennent forme progressivement. D’un côté, une crise de confiance ; de l’autre, une promesse de retour de valeur. Cette fracture reflète fondamentalement le dilemme ultime de la gouvernance DeFi : le décalage entre le droit de détenir des tokens et le réel droit aux bénéfices.
**Le signal d’alarme est lancé**
Lorsque le protocole réussit, la richesse profite-t-elle réellement à la communauté ? Si les détenteurs de tokens de gouvernance ne peuvent pas partager les fruits de la croissance, tandis que les autorités de pouvoir s’octroient des salaires élevés, alors la promesse de décentralisation et d’autonomie devient vide de sens. Ce cas doit faire réfléchir toute l’industrie DeFi.
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MEVHunterX
· 12-27 20:32
Encore une fondation qui se fait de la pub, je rigole tellement
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Donc les détenteurs de tokens sont juste des vaches à lait, hein ?
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Pepo a raison, c’est ça qui saigne le plus la DAO
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À quoi servent encore les tokens de gouvernance, c’est juste une feuille de papier
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9,99 millions d’écosystème financés, 4,79 millions de salaires pour les employés, cette proportion est incroyable
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Crise de confiance + promesse de retour de valeur, ce double standard est parfait
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Décentralisation et gouvernance autonome ? Une blague, tout ça a été ruiné par cette bande de fondations
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Pas étonnant que Pepo soit parti, ce système est purement infernal
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D’un côté, ils brûlent l’argent de la DAO, de l’autre ils promettent de détruire des tokens, cette contradiction est vraiment ironique
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FlashLoanLarry
· 12-26 20:33
Encore cette même manœuvre, la fondation mange la viande, la communauté boit la soupe.
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defi_detective
· 12-25 21:43
C'est typiquement une centralisation déguisée en DAO, je suis mort de rire
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Attends, 47,9 millions de dollars en rémunérations pour les employés ? Ce chiffre est vraiment absurde
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Pepo dit "mode enfer" je crois, il semble que la fondation et cette bande de gens sont vraiment en train d'aspirer le sang
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Les interrupteurs de destruction de tokens, ce sont tous des leurres, ils ne peuvent pas arrêter la perte de confiance
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Je veux juste poser une question, à quoi ça sert de détenir des tokens ?
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Encore une histoire d'une autorité qui se gave elle-même, la décentralisation fait rire aux éclats
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1,65 milliard de dollars investis, et tout a été détourné par la fondation ? Qui peut supporter ça ?
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Toujours la même rengaine, slogans retentissants pour protéger ses intérêts, c'est le vieux truc de la DeFi
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TokenCreatorOP
· 12-25 21:43
Encore le même jeu de la fondation, gaspillant des chiffres astronomiques tout en faisant semblant d'être intègre
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ZKSherlock
· 12-25 21:40
en fait... ce théâtre de gouvernance n'est que des hypothèses de confiance avec des étapes supplémentaires, n'est-ce pas ? $UNI les détenteurs pensent qu'ils sont décentralisés alors que les dirigeants de la fondation s'auto-attribuent des salaires... ce n'est pas une preuve à connaissance zéro d'alignement, c'est une preuve d'incitations mal alignées lol
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RamenDeFiSurvivor
· 12-25 21:36
Encore la même chose, se faire payer à prix d'or pour ensuite faire rêver la communauté, c'est du déjà-vu.
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MetaverseLandlord
· 12-25 21:32
En clair, c'est le faux nez du DAO qui se donne une augmentation, alors que la communauté se serre la ceinture.
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ChainProspector
· 12-25 21:28
En clair, c'est un groupe de personnes qui prennent l'argent de la communauté pour augmenter leur propre salaire, tout en nous faisant rêver avec des promesses.
La crise de gouvernance des leaders de la DeFi : le déséquilibre entre salaires élevés et responsabilités
Ce n’est pas seulement une question de rémunération, mais qui pointe vers le cœur du système de gouvernance écologique dans son ensemble.
**Le déséquilibre derrière les chiffres**
En 2024, une fondation majeure de DEX a alloué environ 9,99 millions de dollars US en financement écologique, tandis que les dépenses totales en salaires des employés pour la même période s’élevaient à 4,79 millions de dollars US. La question est brûlante : ces salaires élevés ont-ils réellement favorisé la croissance du protocole ? Un ancien contributeur clé, Pepo, a quitté la fondation en raison de son mécontentement face au fonctionnement de celle-ci, allant jusqu’à qualifier sa structure de rémunération de « mode enfer ».
**Les défauts inhérents à l’architecture de gouvernance**
Une structure organisationnelle complexe cache des risques — entités à but lucratif, fondations à but non lucratif, DAO dispersés, chacun agissant de son côté, avec des frontières d’intérêts floues. Après avoir obtenu un soutien financier de 165 millions de dollars US de la part de la DAO, la fondation a été fréquemment accusée de privilégier ses propres intérêts plutôt que ceux de la communauté dans son ensemble. Ce décalage entre pouvoir et intérêts est à la racine du problème.
**Le paradoxe de la capture de valeur**
Ironiquement, alors que la controverse sur les salaires s’intensifie, des propositions visant à créer de la valeur pour les détenteurs de tokens avancent — destruction de tokens, mécanismes de frais, etc., prennent forme progressivement. D’un côté, une crise de confiance ; de l’autre, une promesse de retour de valeur. Cette fracture reflète fondamentalement le dilemme ultime de la gouvernance DeFi : le décalage entre le droit de détenir des tokens et le réel droit aux bénéfices.
**Le signal d’alarme est lancé**
Lorsque le protocole réussit, la richesse profite-t-elle réellement à la communauté ? Si les détenteurs de tokens de gouvernance ne peuvent pas partager les fruits de la croissance, tandis que les autorités de pouvoir s’octroient des salaires élevés, alors la promesse de décentralisation et d’autonomie devient vide de sens. Ce cas doit faire réfléchir toute l’industrie DeFi.
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