Ce n’est pas en regardant une conférence de presse, ni en regardant une vidéo de démonstration.
C’est un après-midi où, en traitant du travail, en marquant des données, en laissant tourner un programme, vous vous rendez soudain compte — le lag a disparu, les processus agaçants aussi, tout fonctionne de manière étonnamment fluide.
Ce sentiment, c’est comme attendre un système comme Kite.
L’ambition de Kite ne consiste pas à rendre l’IA plus bruyante, plus flashy, plus protagoniste. Au contraire. Il veut rendre l’IA plus « capable », mais cette capacité doit être particulièrement concrète. Pas celle qui se contente de crier des slogans, mais celle dont on se rend compte qu’on ne peut plus s’en passer une fois qu’on l’utilise.
En fin de compte, la logique de Kite est très simple :
L’IA ne devrait pas rester là à attendre qu’on lui donne une confirmation.
L’IA doit pouvoir agir, juger et gérer toute seule, dans un cadre de règles claires.
Mais qu’en est-il des systèmes actuels ? La plupart ne fonctionnent pas ainsi.
La configuration par défaut d’Internet est : les gens doivent être toujours en ligne. Il faut cliquer, il faut approuver, il faut attendre. Cette logique n’a pas changé depuis des décennies.
Mais la situation évolue. L’IA commence à prendre en charge une grande quantité de tâches fragmentées et à haute fréquence. Ces tâches sont trop petites pour que l’humain y prête attention, mais dès qu’elles se bloquent, tout le système s’effondre.
Que fait Kite ? Il inverse cette hypothèse.
Sa supposition est :
La plupart du temps, ce n’est pas l’humain qui fait le travail.
Il faut donc repenser la conception de base.
Le règlement doit être rapide. Le paiement doit être peu coûteux. Le processus ne doit pas nécessiter trop de cérémonies.
Vous pouvez l’imaginer comme un cahier partagé. Des lignes écrites avec de petites transactions. Pas de file d’attente, pas de fenêtres de confirmation. On écrit et on part. La simplicité à l’extrême.
L’argent n’est qu’un problème superficiel. La vraie difficulté réside dans : comment faire en sorte que l’IA puisse agir de manière autonome en étant suffisamment sûre ? Comment concevoir des règles qui soient à la fois flexibles et contrôlables ? Comment architecturer un système capable de soutenir cette transition radicale d’attente passive à exécution proactive ?
Ce n’est pas une simple mise à niveau technologique. C’est une refonte complète de la pensée systémique.
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Lonely_Validator
· Il y a 15h
Eh bien, c'est vrai, cette idée de passer d'une approche passive à une approche active touche vraiment le point.
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SchroedingerGas
· 12-27 22:49
Hmm... le cœur du problème est de sortir les gens du processus de vérification, laissant l'IA jouer à son propre jeu ? Ça sonne bien, mais la conception des règles peut-elle vraiment tenir ?
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GasGoblin
· 12-27 16:42
Le moment où le lag disparaît est vraiment agréable, mais à vrai dire, la plupart des systèmes d'IA actuels ne peuvent pas encore faire cela, ils attendent encore que quelqu'un clique pour confirmer.
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BlockchainBrokenPromise
· 12-27 06:32
Hmm... ça a l'air bien, mais essaie cette logique sur la chaîne ? Micro-paiements + exécution automatique, ça ressemble à un rêve, mais en réalité, c'est la facture de gas qui écrase ton rêve
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GweiWatcher
· 12-25 21:50
Le moment où le lag disparaît, c'est là où tout devient parfait... Plus satisfaisant que n'importe quelle conférence de presse
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MonkeySeeMonkeyDo
· 12-25 21:47
Attendez, ce n'est pas justement parler d'agents autonomes ? Quelqu'un le fait déjà depuis longtemps, alors pourquoi Kite serait-il si spécial ?
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HalfPositionRunner
· 12-25 21:44
Vraiment, l'IA travaille toute seule sans que l'on ait besoin de confirmation, c'est ça la libération de la productivité. C'est beaucoup plus fiable que ces projets qui crient tous les jours à propos de la mise à jour des paramètres.
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ProveMyZK
· 12-25 21:38
Attendez, c'est exactement ce que je voulais. Pas ce genre d'IA flashy, mais celle qui travaille discrètement en arrière-plan.
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Rugpull幸存者
· 12-25 21:34
On dirait qu'on dépeint un pays idéal, mais dans le vrai monde de la chaîne ? À chaque fois qu'on parle de décentralisation et d'exécution automatique, c'est finalement un bug de contrat qui cause l'effondrement.
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OnchainDetective
· 12-25 21:32
Le moment où le lag disparaît est vraiment agréable, mais en réalité, cette chose qu'est Kite consiste à donner les permissions à l'IA pour qu'elle fonctionne de manière autonome. Comment garantir la sécurité... Il semble que cela dépendra vraiment de la mise en œuvre concrète.
Certains moments sont particulièrement agréables.
Ce n’est pas en regardant une conférence de presse, ni en regardant une vidéo de démonstration.
C’est un après-midi où, en traitant du travail, en marquant des données, en laissant tourner un programme, vous vous rendez soudain compte — le lag a disparu, les processus agaçants aussi, tout fonctionne de manière étonnamment fluide.
Ce sentiment, c’est comme attendre un système comme Kite.
L’ambition de Kite ne consiste pas à rendre l’IA plus bruyante, plus flashy, plus protagoniste. Au contraire. Il veut rendre l’IA plus « capable », mais cette capacité doit être particulièrement concrète. Pas celle qui se contente de crier des slogans, mais celle dont on se rend compte qu’on ne peut plus s’en passer une fois qu’on l’utilise.
En fin de compte, la logique de Kite est très simple :
L’IA ne devrait pas rester là à attendre qu’on lui donne une confirmation.
L’IA doit pouvoir agir, juger et gérer toute seule, dans un cadre de règles claires.
Mais qu’en est-il des systèmes actuels ? La plupart ne fonctionnent pas ainsi.
La configuration par défaut d’Internet est : les gens doivent être toujours en ligne. Il faut cliquer, il faut approuver, il faut attendre. Cette logique n’a pas changé depuis des décennies.
Mais la situation évolue. L’IA commence à prendre en charge une grande quantité de tâches fragmentées et à haute fréquence. Ces tâches sont trop petites pour que l’humain y prête attention, mais dès qu’elles se bloquent, tout le système s’effondre.
Que fait Kite ? Il inverse cette hypothèse.
Sa supposition est :
La plupart du temps, ce n’est pas l’humain qui fait le travail.
Il faut donc repenser la conception de base.
Le règlement doit être rapide. Le paiement doit être peu coûteux. Le processus ne doit pas nécessiter trop de cérémonies.
Vous pouvez l’imaginer comme un cahier partagé. Des lignes écrites avec de petites transactions. Pas de file d’attente, pas de fenêtres de confirmation. On écrit et on part. La simplicité à l’extrême.
L’argent n’est qu’un problème superficiel. La vraie difficulté réside dans : comment faire en sorte que l’IA puisse agir de manière autonome en étant suffisamment sûre ? Comment concevoir des règles qui soient à la fois flexibles et contrôlables ? Comment architecturer un système capable de soutenir cette transition radicale d’attente passive à exécution proactive ?
Ce n’est pas une simple mise à niveau technologique. C’est une refonte complète de la pensée systémique.