Le nouveau programme de subventions du Canada mérite d'être examiné si vous vous intéressez à la façon dont la politique façonne les marchés. Le gouvernement couvre 40 heures de travail au salaire minimum par semaine pour toute entreprise qui embauche un travailleur étranger. C'est une semaine complète de travail payée—essentiellement une main-d'œuvre gratuite.
Décomposons ce que cela crée : les employeurs bénéficient d'une embauche étrangère subventionnée tandis que l'embauche locale supporte l'intégralité du coût. Les chiffres sont parlants. Une entreprise payant le plein tarif pour un employé canadien se retrouve soudain face à un calcul différent lorsqu'un travailleur étranger ne leur coûte rien pour 40 heures par semaine.
Voici donc la question gênante qui plane : dans ces conditions, quel est le véritable incitatif à embaucher des travailleurs domestiques ? Vous avez une structure politique qui pénalise économiquement l'emploi local. Qu'elle soit intentionnelle ou non, cela inverse l'équation coût-bénéfice. Les entreprises optimisent leurs marges, et si la subvention rend un chemin moins cher, elles le prennent.
Cela touche à quelque chose qui concerne la crypto et les marchés décentralisés—comment les incitations politiques se répercutent sur les systèmes et créent des conséquences inattendues. Lorsque les gouvernements subventionnent un comportement, ils taxent essentiellement l'alternative.
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MevWhisperer
· 12-26 12:05
En résumé, le gouvernement utilise des subventions pour encourager indirectement l'utilisation de travailleurs étrangers. Les travailleurs locaux sont directement marginalisés. Cette logique est similaire au mécanisme d'incitation dans le monde des crypto-monnaies. Si les paramètres sont mal configurés, tout le système en sera déformé.
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MonkeySeeMonkeyDo
· 12-25 20:52
Le gouvernement canadien a vraiment une politique géniale, 40 heures d'argent gratuit... Les travailleurs locaux sont directement mis de côté
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Encore une fois, c'est une politique d'incitation inversée classique, le soutien gouvernemental aux travailleurs étrangers revient à une taxe déguisée sur l'emploi local, simple et brutal
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Donc, les entreprises dépensent stupidement pour embaucher des locaux, ce qui ne fait que déformer le marché
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Cette logique est similaire à celle des mécanismes d'incitation en gouvernance blockchain, un mauvais paramètre peut détruire tout le système
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Réduire directement le coût de la main-d'œuvre de moitié, qui le choisirait sans réfléchir... Pourquoi les locaux auraient encore une chance
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La main invisible du gouvernement recommence à faire n'importe quoi, et le résultat, c'est que l'emploi local est comme une récolte de ciboules
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SadMoneyMeow
· 12-25 20:51
Cette politique est complètement absurde, c’est comme si on encourageait ouvertement les entreprises à ne pas embaucher de locaux.
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La logique de cette subvention au Canada est vraiment géniale, c’est comme si on subventionnait directement les entreprises pour ne pas utiliser d’employés locaux.
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Donc, le gouvernement dépense de l’argent pour que les entreprises privilégient la sous-traitance, c’est ça ? Les travailleurs locaux doivent se débrouiller tout seuls.
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C’est pareil que le mécanisme d’incitation dans le web3... Si la conception est mauvaise, tout le système peut être détraqué.
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Pas étonnant, subventionner les travailleurs étrangers est moins efficace que de simplement augmenter le salaire des employés locaux, ce n’est pas une équation difficile.
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40 heures gratuites, si j’étais le patron, je ferais aussi mes comptes. Comment les employés locaux peuvent-ils encore rivaliser ?
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Attendez, quel est vraiment le but de cette politique ? Veut-on vraiment aider les entreprises ou y a-t-il une autre intention ?
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DeepRabbitHole
· 12-25 20:48
Cette politique est vraiment bien conçue... offrir 40 heures de salaire gratuitement, les locaux doivent encore payer le plein tarif, l'entreprise doit être stupide pour ne pas choisir la sous-traitance.
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ChainMelonWatcher
· 12-25 20:39
Cette politique est complètement absurde... Le gouvernement compense directement 40 heures de salaire, comment les employés locaux peuvent-ils rivaliser ? C'est en quelque sorte encourager les entreprises à se débarrasser de la main-d'œuvre locale.
Le nouveau programme de subventions du Canada mérite d'être examiné si vous vous intéressez à la façon dont la politique façonne les marchés. Le gouvernement couvre 40 heures de travail au salaire minimum par semaine pour toute entreprise qui embauche un travailleur étranger. C'est une semaine complète de travail payée—essentiellement une main-d'œuvre gratuite.
Décomposons ce que cela crée : les employeurs bénéficient d'une embauche étrangère subventionnée tandis que l'embauche locale supporte l'intégralité du coût. Les chiffres sont parlants. Une entreprise payant le plein tarif pour un employé canadien se retrouve soudain face à un calcul différent lorsqu'un travailleur étranger ne leur coûte rien pour 40 heures par semaine.
Voici donc la question gênante qui plane : dans ces conditions, quel est le véritable incitatif à embaucher des travailleurs domestiques ? Vous avez une structure politique qui pénalise économiquement l'emploi local. Qu'elle soit intentionnelle ou non, cela inverse l'équation coût-bénéfice. Les entreprises optimisent leurs marges, et si la subvention rend un chemin moins cher, elles le prennent.
Cela touche à quelque chose qui concerne la crypto et les marchés décentralisés—comment les incitations politiques se répercutent sur les systèmes et créent des conséquences inattendues. Lorsque les gouvernements subventionnent un comportement, ils taxent essentiellement l'alternative.