Pourquoi l'Europe est-elle si loin derrière dans la course aux licornes ? L'écart devient de plus en plus difficile à ignorer.
Les chiffres dressent un tableau saisissant : les États-Unis dominent largement avec 690 licornes privées d'une valeur totale de 2,53 billions de dollars. Ce n'est pas seulement une domination—c'est un contrôle total du jeu de la création de richesse dans les startups technologiques.
La Chine se place en deuxième position avec 162 licornes évaluées à $702 milliards, toujours en possession de capitaux importants. Mais l'Europe ? Avec seulement 107 entreprises totalisant $333 milliards, elle peine à suivre le rythme.
Cet écart révèle quelque chose de plus profond que de simples cycles de financement. Il concerne l'endroit où circule le capital-risque, où se regroupent les talents, et quelles régions attirent les entrepreneurs les plus audacieux. Pour quiconque suit le paysage mondial de la fintech et du Web3, cette concentration régionale de la richesse a son importance. Les États-Unis et la Chine ne sont pas simplement en tête—ils construisent tout un écosystème qui détourne l'innovation et l'investissement d'autres marchés.
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PensionDestroyer
· Il y a 10h
La Silicon Valley américaine attire les talents, la Chine suit le mouvement pour recruter des talents... En Europe, les réglementations seules peuvent tuer les entrepreneurs, pas étonnant qu'ils ne puissent pas rivaliser
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DefiPlaybook
· Il y a 10h
Selon les données, 690 licornes aux États-Unis contre 107 en Europe, avec une différence de valorisation de 2,53 billions contre 333 millions... Il est important de noter qu'il ne s'agit pas seulement d'un problème de financement, mais que la victoire ou la défaite de l'ensemble de l'écosystème est déjà décidée. Avertissement sur les risques : l'Europe est encore en train de tergiverser sur la réglementation, tandis que les États-Unis et la Chine construisent déjà leur fossé défensif.
Pourquoi l'Europe est-elle si loin derrière dans la course aux licornes ? L'écart devient de plus en plus difficile à ignorer.
Les chiffres dressent un tableau saisissant : les États-Unis dominent largement avec 690 licornes privées d'une valeur totale de 2,53 billions de dollars. Ce n'est pas seulement une domination—c'est un contrôle total du jeu de la création de richesse dans les startups technologiques.
La Chine se place en deuxième position avec 162 licornes évaluées à $702 milliards, toujours en possession de capitaux importants. Mais l'Europe ? Avec seulement 107 entreprises totalisant $333 milliards, elle peine à suivre le rythme.
Cet écart révèle quelque chose de plus profond que de simples cycles de financement. Il concerne l'endroit où circule le capital-risque, où se regroupent les talents, et quelles régions attirent les entrepreneurs les plus audacieux. Pour quiconque suit le paysage mondial de la fintech et du Web3, cette concentration régionale de la richesse a son importance. Les États-Unis et la Chine ne sont pas simplement en tête—ils construisent tout un écosystème qui détourne l'innovation et l'investissement d'autres marchés.