Il existe une perspective rétrospective intéressante sur la trajectoire de l'IA : les générations précédentes semblaient nettement artificielles, presque comme si l'on entrait dans un paysage numérique extraterrestre. Les frontières étaient claires. L'IA d'aujourd'hui brouille ces lignes de manière si fluide que distinguer la réalité de la synthèse devient presque impossible. Que cela représente un progrès ou une érosion de la transparence reste une question ouverte — la technologie est devenue sophistiquée, mais peut-être avons-nous perdu quelque chose dans le passage de l'artifice évident à la simulation transparente.